Traveler Alert: la réponse de Tinder aux pays LGBT-phobes

Faire partie de la communauté LGBT n’est pas toujours aisé sous nos latitudes pourtant réputées libérales. Alors dans les pays – 69 selon l’Association internationale pour les lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres et intersexes. – intolérants ça peut devenir problématique voire dangereux; dans certains pays le fait d’être homo/bi/transsexuel ou transgenre est punissable par la loi.

Tinder va prochainement proposer une mise à jour majeure: le Traveler Alert. L’utilisateur sera averti qu’il se trouve dans un pays où son orientation sexuelle et/ou de genre n’est pas tolérée. L’application lui proposera de masquer son profil et cachera à tout le moins les informations sensibles durant son séjour en contrée « hostile ».

Source: kutt.it/XTstoM

L’Europe ne veut pas de la thérapie de conversion

Très à la mode aux USA où elle pratiquée par des groupes religieux ou des professionnels de la santé, la thérapie de conversion consiste à « corriger » l’orientation sexuelle des gays ou « guérir » les transsexuels. Bref elle considère les LGBT comme des « déviants » qu’il s’agit de remettre dans le droit chemin à coup de psychothérapie, d’injections d’hormones ou encore d’éléctrochocs.
L’Europe condamne cette pratique et appelle les Etats membres à légiférer en ce sens.

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https://goo.gl/tqcG2n

ULB: transgenres et intersexués mieux pris en compte

Les individus transgenres et intersexués sont continuellement obligés de s’expliquer sur le fait que leur identité de genre ne correspond pas à ce  qui indiqué sur leur carte d’identité.  Ce constat dressé par l’Equality Law Clinic – qui rassemble des professeurs, doctorants et étudiants en Droit autour des questions d’égalité et de non-discrimination – a amené les autorités rectorales à permettre aux transgenres et intersexués de choisr le prénom qui sera indiqué sur leur carte d’étudiant.  Une première en Fédération Wallonie-Bruxelles.  Nul doute que cette avancée fera des émules…

Source : Les transgenres de l’ULB pourront choisir le prénom indiqué sur leur carte d’étudiant – La Libre